Apocalyipstick
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- 28 mai
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Galerie Obadia, 27 mai au 26 juillet 2025, 91, rue Faubourg Saint Honoré, Paris 8e
Et si, au fond, l'Apocalypse n'était pas une fin, mais une métamorphose ? Un appel à transformer les catastrophes en récits fertiles, à jouer avec le langage pour révéler ce qui, sous les cendres, attend de renaître. C'est dans cette dynamique que s'inscrit la démarche de Fabrice Hyber, qui, tel un chercheur ou un botaniste, note, mesure, calcule et annote sans cesse ses œuvres, en quête de nouvelles découvertes. Pour l'artiste, l'Apocalypse va au-delà de la destruction, célébrant "ce qui renaît dans une forêt brûlée, un terrain asséché ou une communauté terrassée : il y a toujours des vies qui réapparaissent, des mots qui renaissent, des comportements qui persistent"